Janome Umbrellas

Le parapluie traditionnel Janomé

Le parapluie traditionnel Janomé a été amélioré pour répondre aux besoins de notre temps.

Eiheiji

Fournisseur pour le temple « Eiheiji », l’un des principaux temples de l’école Sôtô du Bouddhisme zen.

Notre entreprise fournit le temple historique et traditionnel Eiheiji, l’un des principaux temples de l’école Sôtô du Bouddhisme zen. Dans le Bouddhisme, la structure du parapluie représente une auréole et le parapluie lui-même est considéré comme étant originaire du « bout du ciel », il est très utilisé dans les temples, temples Bouddhistes et sanctuaires dans tous le Japon.

Nous participons à la promotion de l’industrie de notre région, la préfecture de Fukui.

Le parapluie original Janomé était fait de papier et de papier huilé mais son utilisation étant difficile,nos clients ont été nombreux à faire la demande d’un parapluie Janomé facile à utiliser. Grâce à la technique de l’industrie textile de la préfecture de Fukui, nous avons, en tissant un pongé aéré mélangé avec du polyester, reproduit une étoffe de type Habutae mixte. C’est un tissu qui se caractérise avant tout par sa facilité d’usage, sa résistance et sa beauté.

Les baleines sont soit en composé métallique pour une ligne plus fine, soit en carbone pour plus de légèreté et de résistance. Pour les baleines de nos parapluies, c’est la technologie des montures de lunettes de la préfecture de Fukui qui a été mise à l’honneur. Les baleines sont au nombre de 24, permettant ainsi une meilleure résistance et une courbe plus douce pour profiter pleinement du son de la pluie qui tombe. De plus, le parapluie peut être ouvert selon deux angles différents, vous permettant d’utiliser votre parapluie soit en style japonais, soit en style occidental ; la position basse étant le style traditionnel japonais Janomé.

La pose de laque sur la poignée et l’embout est faite à Kawada dans la préfecture de Fukui. Kawada est considéré comme le lieu de naissance au Japon de la technique de la laque, son histoire remonte jusqu’à la période des Kofun (Tumulus) de l’empereur Keitai. Les artisans du quartier de Kawada à Fukui laquent à la main et avec grand soin chaque pièce qui résistera parfaitement à l’eau et à la chaleur, et qui au cours de son utilisation prendra un joli lustre, témoin de son histoire.